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Tuesday, 22 November 2016


Il n'est pas facile sur un blog d'exhumer des sujets écrits il y a plusieurs mois et pourtant certains peuvent valoir la relecture. C'est pourquoi je profite de l'été pour faire vous rappeler quelques articles qui restent intéressants, voire qui se sont révélés prémonitoires...
Vous pouvez retrouver cette sélection au rythme d'un article par semaine dans la barre latérale du blog ou bien sur Twitter.

Si vous les avez manqué, voici tous les articles que je vous ai proposé de relire en juillet :
  • Visitez les centrales solaires les plus remarquables de la planète… avec Google Map
    Comme la plupart des infrastructures énergétiques, les centrales solaires sont visibles par satellite. Google Map permet ainsi d’observer les centrales les plus remarquables de la planète sans bouger de chez soi : Themis en France précurseur du solaire à concentration et aujourd’hui classée monument historique, Shams mise en service cette année et plus puissante centrale à miroirs cylindroparaboliques de la planète ou encore la modeste centrale photovoltaïque de Kigali, néanmoins la plus importante du continent africain.
  • EROEI : combien d’énergie faut-il pour produire de l’énergie ?
    Comme toute activité humaine, la recherche, l’extraction et la transformation de l’énergie consomme… de l’énergie. Le rapport de la quantité d'énergie investie sur la quantité finalement utilisable est le taux de retour énergétique (EROEI en anglais), l’équivalent du retour sur investissement en finance. Or ce taux a fortement baissé depuis le début du siècle dernier. Pour quelles raisons et doit-on s’en inquiéter ?
  • Nécessité économique ou impasse éthique, que penser de l’économie verte ?
    Il y a un an, la conférence de Rio+20 consacrait l’économie verte comme la réponse de la communauté internationale au défi du développement durable. Mais cette idée, qui consiste à donner une valeur économique à des actifs environnementaux (ressources naturelles, paysages, espèces…), ne risque-t-elle pas d’aggraver la situation ?
  • Le gaz de schiste a-t-il fait baisser le prix de l’énergie aux États-Unis ?
    L’étude des statistiques de l’Energy information administration révèle que, contrairement à une idée largement répandue, les prix de l’énergie ont continué à augmenter aux États-Unis malgré l’exploitation des gaz non-conventionnels . Même le prix du gaz n’a pas connu la baisse spectaculaire que vantent les partisans du gaz de schiste.
  • DESERTEC, MEDGRID, PSM… Exporter de l’électricité de l’Afrique vers l’Europe, vraiment ?
    Plusieurs projets prévoient d’exploiter l’ensoleillement exceptionnel du Sahara pour produire l’électricité solaire qui pourra ensuite être exportée vers l’Europe. Au-delà des difficultés technique (transporter de l’électricité sur d’aussi longue distance est très délicat), est-ce bien raisonnable d’exporter vers l’Europe de l’électricité produite sur le continent le moins électrifié de la planète ? Depuis l'écriture de l'article, le consortium Desertec s'est divisé sur une question approchante et le projet a été de facto abandonné.

Friday, 18 November 2016


A la veille de la COP21, tous les pays participant à la Conférence de Paris ont été invités à remettre leurs propositions pour lutter contre le changement climatique. Malgré quelques réfractaires (notamment les pays exportateurs de pétrole), la grande majorité s'est acquitté de cette formalité dans les temps.
Ces documents (appelés INDC) contiennent les objectifs de chaque pays pour 2030. Avec un peu de patience, leur analyse permet de calculer les futures émissions de gaz à effet de serre et de dessiner la géopolitique du carbone pour les 20 ans à venir...

Dans cet article, je vous propose mes propres calculs pour les 10 plus gros émetteurs de la planète : Chine, États-Unis, Union Européenne à 27, Inde, Russie, Japon, Brésil Canada, Indonésie et Australie.
Comme d'habitude, l'ensemble des calculs et les hypothèses utilisées sont accessibles. Je vous recommande de les consulter si vous souhaitez réutiliser ces chiffres.

Pour un aperçu rapide, cette infographie présente l'évolution des émissions de gaz à effet de serre par habitants entre 1990 et 2030 :
Infographie : emissions de gaz à effet de serre par habitant pour les 10 plus gros pollueurs en 1990, 2010 et 2030 (d'après les INDC remises avant la COP21)


Évolution des émissions de gaz à effet de serre en valeur absolue


Commençons par les émissions totales de gaz à effet de serre. En 2030, les dix plus gros pollueurs de la planète devraient émettre un peu plus de 35 milliards de tonnes équivalent-CO2 contre 28GTeqCO2 en 2010.
La répartition est la suivante :
Emissions de gaz à effet de serre des 10 plus gros pollueurs de la planète, historique et projection à 2030

On voit qu'en 2030, le classement est très largement dominé par la Chine et l'Inde, responsables des 2/3 du total. Suivent de loin les États-Unis puis l'Union Européenne. L'Indonésie qui était dernière de ce top10 en 1990 atteint la 5e place. La Russie poursuit sa régression et est dépassée par le Japon. En bas de classement, on trouve le Brésil, le Canada et l'Australie.


Les émissions de CO2 par habitant


Mais les émissions totales ne sont pas un très bon indicateur : Comment comparer, par exemple, l'Australie et le Brésil alors que le second est dix fois plus peuplé ?
Pour se faire une idée plus exacte des efforts réalisés par chacun, il faut calculer les émissions par habitant. Et celles-ci racontent une autre histoire :
Emissions de CO2 par habitant passées et futures (prospective à 2030) dans les 10 pays les plus polluants du monde
L'Australie et le Canada qui étaient en queue de classement se retrouvent premier et deuxième, suivis des États-Unis. Malgré une baisse sensible de leurs émissions, la hiérarchie des pires pollueurs de la planète n'est pas modifié : ces trois pays sont déjà sur le podium aujourd'hui...
Arrive ensuite la Chine dont les émissions par habitant s'approchent de celle des États-Unis ! Les émissions indiennes aussi connaissent un bond spectaculaire : elles sont multipliée par 3 en 20 ans.

Dans le sens inverse, les européens polluent de moins en moins : avec des émissions par habitant pratiquement divisée par 2 entre 1990 et 2030, ils se trouvent en 2030 derrière l'Inde ou l'Indonésie.
Enfin, il faut saluer l'ambition brésilienne : compte-tenu de la croissance de sa population, il réalise un effort considérable. Si les objectifs définis dans son INDC sont tenus, ses émissions par habitant devraient avoir baissé de moitié en 2030 par rapport à 2010 !

Que signifient ces évolutions pour les négociations internationales sur le climat ? C'est l'objet d'un autre article que vous pouvez retrouver ici.


Publié le 5 octobre 2015 par Thibault Laconde, dernière mise à jour le 19 juillet 2016. 


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Monday, 14 November 2016


La loi Brottes "visant à préparer la transition vers un système énergétique sobre" a été proposée en septembre 2012 et adoptée par l'Assemblée le 12 mars 2013. Elle portait notamment sur l'instauration d'une tarification progressive de l'énergie, rebaptisée pour l'occasion "bonus-malus énergie".
Cette mesure a été longuement débattue et a connu un parcours parlementaire tourmenté. Ultime rebondissement le 11 avril : la censure par le Conseil Constitutionnel de l'article 2 de la loi, justement celui qui créait le mécanisme de tarification progressive.

Le débat a aussi eu lieu aussi sur ce blog : mon analyse de la loi Brottes lors de son dépôt en septembre a reçu 7000 visites et 45 commentaires, les autres articles liés à ce sujet, comme celui sur le système californien, ont également été très visités et partagés.

Les réactions étaient globalement défavorables au système de bonus-malus. Les critiques reçues par mes articles recoupent d'ailleurs souvent (quoiqu'en termes un peu plus directs) celles qui ont fondé la saisine du Conseil Constitutionnel.
J'ai essayé de répondre aux commentaires au fur et à mesure. Je reprend ici avec mes réponses ceux qui sont revenus le plus souvent ou qui m'ont paru les plus intéressants.


Faire varier le prix de vente en fonction du client, cela ne trouble personne ? Elles sont où, au juste, l'égalité et l'équité?" en langage de constitutionnalistes : "rupture d’égalité devant les charges publiques"

Cette critique - qui concerne le principe même de la loi : faire varier le prix de l'énergie en fonction de la consommation - est finalement assez rare.
En effet, dans un pays qui s'étend sur une dizaine de parallèles, il est évident qu'une même personne habitant le même logement avec les même habitudes aura une consommation d'énergie différente selon qu'elle se trouve au sud ou au nord. Revendiquer des tarifs identiques par unité d'énergie consommée pour une famille de 5 personnes dans une maison à Roubaix et un célibataire en immeuble à Nice relève d'une conception un peu particulière de l'égalité...

Toute la difficulté de la loi Brottes est de calculer sans trop d'erreur le niveau raisonnable de consommation de chaque ménage. Le texte a pris en compte de nombreux cas particuliers : immeubles collectifs, résidence secondaire, garde alternée...
Il y aura toujours des situations imprévues : certaines personnes bénéficieront de façon indue du bonus, d'autre seront sanctionnées par un malus sans avoir été particulièrement dispendieuses. Reste que la tarification progressive est globalement bien plus équitable que le système précédent.
Continuer la lecture »

Sunday, 6 November 2016


La 21e conférence de l'ONU sur le climat, qui se tiendra à Paris en décembre 2015, n'est-elle qu'une affaire d'experts et de diplomates ? Non : c'est aussi l'occasion pour des milliers de responsables associatifs, d'entrepreneurs, de chercheurs ou d'élus de débattre de leur projets pour la planète.
Chaque mercredi, je vous propose de rencontrer une des personnes qui préparent cette grande mobilisation afin de comprendre ses projets mais aussi et surtout sa vision des questions climatiques et les raisons qui l'ont poussé à s'engager. Pour ne ratez aucun de ces entretien, n'hésitez pas à vous abonner à ma chaine Youtube.

Et aujourd'hui, j'ai discuté pour vous avec Brice Lalonde qui s'active avec le Global Compact et le World Business Council for Sustanaible Development pour organiser en mai le "Business and Climate Summit" et permettre aux entreprises de pousser les gouvernements vers un accord lors de la COP21.


Lorsqu'ils parlent d'environnement, les gouvernements commencent souvent par se tourner vers les entreprises : est-ce que ça ne va pas les rendre moins concurrentielles ? Est-ce qu'elles vont licencier ? Se délocaliser ? Et si, au contraire, le monde des affaires répondait : pas de problèmes, allez-y !
C'est un peu l'idée du Business and Climate Summit qui se tiendra à Paris les 20 et 21 mai : que les entreprises s'engagent à lutter elles-même contre le changement climatique, mais qu'en plus elles poussent les gouvernements vers un accord ambitieux lors de la COP21...

Les rencontres précédentes :
  • Kamera Vesic sur "Welcome chez moi" 
  • Sylvianne Villaudière et SolutionsCOP21

Vous recherchez d'autres événements ? Voici l'agenda de toutes les manifestions autour de la COP21.
Vous avez un projet et vous souhaiteriez apparaitre dans cette rubrique ? Parlez-moi en.

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Saturday, 5 November 2016


Combien de gaz à effet de serre peut-on émettre pour limiter le réchauffement de la planète à 2°C ?
- "Pour limiter le réchauffement de la planète à 2°C, il ne faut pas émettre plus de tant de milliards de tonnes de carbone."
- "Compte tenu des émissions à venir, on se dirige vers une augmentation de la température moyenne de x degrés à la fin du siècle."

Vous avez sans doute tous entendu ou lu des affirmations comme celles-ci au cours des dernières semaines. Mais vous êtes-vous demandé d'où viennent ces chiffres et comment ils sont calculés ? Et accessoirement s'ils sont fiables ou même juste cités correctement ? Petit guide...


Les scénarios du GIEC


En matière de changement climatique, la question n'est plus (et de puis longtemps !) de savoir si nos émissions de gaz à effet de serre réchauffent la planète mais de combien et combien nous pouvons émettre avant de dérégler dangereusement le climat.
La plupart des réponses que vous pouvez entendre à cette question s'appuient :
  • D'abord sur le relatif consensus hérité du Sommet de Copenhague qui considère que le réchauffement climatique serait dangereux s'il dépassait +2°C en 2100 par rapport à l'ère pré-industrielle. Ce seuil est optimiste quand on voit le potentiel de déstabilisation qu'a déjà le changement climatique.
  • Ensuite sur les scénarios du GIEC, notamment un qui permet, avec une bonne probabilité, de rester sous le seuil de 2°C.
Ce scénario, RCP 2.6 de son petit nom, se trouve dans le 5e rapport du GIEC. Il est le seul parmi les scénarios développé par le GIEC à rester dans les clous par rapport à l'objectif de la communauté internationale : les 3 autres (RCP4.5, RCP6.0 et RCP8.5) dépassent allégrement les 2°C. RCP signifie Representative Concentration Pathways et le chiffre indique l'augmentation du forçage radiatif, c'est-à-dire de la capacité de l'atmosphère à retenir la chaleur.

prévision de température du GIEC en fonction des émissions de dioxyde de carbone
Evolution de la température moyenne pour les scénarios RCP2.6 et RCP8.5
Chaque scénario réunit une multitude de paramètres, notamment l'évolution des émissions pour chaque  gaz à effet de serre au cours du siècle prochain. Il sont accessible librement en ligne et les chercheurs du monde entier peuvent les utiliser pour faire des projections climatiques avec leurs propres modèles.

Résultat : le scénario RCP2.6 aboutit à une hausse de la température qui se situe avec une probabilité de 90% entre 0.9°C et 2.3°C, la meilleure estimation étant de +1.6°C sur la période 2080-2100 comparée à 1850-1900.
Ces scénarios permettent des simulations très détaillées et surtout comparables d'une équipe de recherche à l'autre, mais ils sont très complexes.


Le "budget carbone"


Pour communiquer des résultats au grand public, le GIEC a proposé une méthode simplifiée : le "budget carbone". Par exemple, pour avoir une probabilité de 66% de rester sous les 2°C, l'humanité dispose d'un budget carbone de 3670 milliards tonnes équivalent-CO2 (ou 1000 milliards de tonnes équivalent-carbone).
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Précisions importantes :
  • Entre le début de la révolution industrielle et 2011, nous avions déjà consommé une grosse moitié de ce budget (environ 1950 GTCO2 sur 3670).
  • Ce budget ne tiens compte que des émissions de dioxyde de carbone, il faut y soustraire l'effet des autres gaz à effet de serre.
  • Ce budget ne tient pas compte de certaines rétroactions positives qui sont encore mal connues (par exemple des rejets de méthane causés par le dégel du permafrost).
Au total, moyennant ces précisions, nous pouvons encore émettre 1000 milliards de tonnes de CO2 entre 2012 et 2100. Au rythme actuel (d'environ 40 milliards de tonnes par an), nous aurions épuisé notre budget carbone dans une vingtaine d'années. Et il va de soi que plus nos émissions commencerons à baisser tard plus le budget restant sera entamé.

On peut aussi calculer les budgets correspondants à d'autres hypothèses, par exemple :
  • Pour avoir une probabilité de 50% de rester sous les 2°C, nous pourrions encore émettre 1300 milliards de tonnes de CO2,
  • Si on on se contente d'une chance sur 3, on passe à 1500 milliards de tonnes.
  • Si on souhaite rester sous les 1.5°C (comme le réclame les pays les plus vulnérables) avec une probabilité de 66%, alors notre budget carbone tombe à 400 milliards de tonnes et sera épuisé dès 2020.

Note : l'utilisation tantôt d'équivalent carbone, tantôt d'équivalent-CO2 est une source infinie de confusions lorsque l'on parle de climat. Elle explique que le système de budget carbone pourtant très simplifié soit régulièrement cité de façon erroné. Le budget carbone global est bien de 1000 milliards de tonnes équivalent-carbone et le budget carbone restant en 2012 après prise en compte des autres gaz à effet de serre de 1000 milliards de tonnes équivalent-CO2.


L'exercice inverse : si j'émets tant de carbone, j'obtiens quelle température ?



Vous avez certainement entendu ces derniers jours, des gens expliquer que compte-tenu des propositions remises par les États (les fameuses INDC), la planète s'achemine vers une réchauffement de tant de degrès (la valeur généralement citée est 2.7°C mais il existe d'autres évaluations).
Ces évaluations sont généralement venues d'ONG ou de think-tank mais pas d'organes scientifiques. Et ils sont sortis quelques jours voire quelques heures seulement après la remise des INDC. Alors comment sont obtenus ces chiffres ?

Ils viennent tout simplement d'outils de simulation développés par des universités et qui permettent de projeter l'évolution du climat en fonction des émissions de gaz à effet de serre. C'est par exemple le cas de MAGGIC qui est téléchargeable gratuitement en ligne.

Publié le 24 novembre 2015 par Thibault Laconde


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Crédit illustration : © Jorge Royan / http://www.royan.com.ar, via Wikimedia Commons

Monday, 31 October 2016


Qu'est-ce que la 21e conférence de l'ONU sur le climat (alias COP21) qui se tiendra à Paris en décembre ? Un grand rendez-vous diplomatique ? Certainement. Mais aussi une très forte mobilisation de la société civile autour de questions aussi cruciales que la solidarité Nord-Sud ou l'équité entre les générations. Derrière l'évènement un peu technocratique se cachent donc de grandes mobilisations citoyennes... même si elles sont encore peu visibles.
C'est précisément la préparation de ces mobilisations que j'aimerais vous faire partager. Qui sont les personnes qui s'activent pour les faire éclore ? Quels projets préparent-ils ? Quelles sont leurs convictions ? Leurs visions ?

Je commence aujourd'hui une série d'entretiens en vidéo avec quelques unes des personnes qui organisent en ce moment-même les événements qui accompagneront le sommet international. Je mettrai en ligne une nouvelle vidéo chaque mercredi (inch'allah), n'hésitez donc pas à vous abonner à la chaine Youtube que j'ai créé pour l'occasion.


Pour le premier épisode de cette série, j'ai rencontré Sylvianne Villaudière pour discuter de SolutionsCOP21 dont elle est coordinatrice générale.
SolutionsCOP21 est un collectif réunissant de nombreuses organisations privées et publiques afin de promouvoir les solutions existantes pour lutter contre la changement climatique, aussi bien en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre que d'adaptation. Il propose notamment une plateforme web sur laquelle sont présentés des projets exemplaires, cette plateforme est ouverte à tous : entreprises, collectivités, associations sont invitées à soumettre leurs propres bonnes pratiques.
Enfin, une exposition ouverte au grand public et gratuite sera organisée au Grand Palais du 4 au 11 décembre (c'est-à-dire pendant le sommet) afin de présenter et de faire connaitre les solutions climat.
 
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